rendez-vous le 14 juillet pour une sortie vraiment typée montagne, aïe le dénivelé!!!
Course pour la préparation du GRP.
Le profil:
Pour l'instant un peu de repos...
"Attachons-nous à reconnaître le caractère si précieux de chaque journée" - XIVe Dalaï Lama
vendredi 28 juin 2013
mardi 25 juin 2013
Pavie Trail, un trail à refaire...
Réveil 6h00,
c'est parti pour une bonne journée de sport. Madame part au travail, je me lève pour un petit déjeuné léger mais suffisant pour une matinée de trail et Margaux (ma fille pour ceux qui ne sont pas au courant) fera une grasse matinée jusqu’à 7hoo. Le temps que la petite émerge tout en s’habillant et nous partons à Pavie ou ma mère la gardera le temps de la course avant de partir faire la fête (ma mère !!!) à Lannemezan, d'ailleur j’ai eu une pensée pour eux qui ont fait la chouille toute la nuit…
Je passe récupérer mon dossard à la salle polyvalente et croise quelques organisateurs souriants et concentrés, pas encore beaucoup de monde mais l’accueil des bénévoles présents est convivial. Avec l’inscription nous recevons un polo super sympa aux couleurs du Pavie Trail.
J’arrive chez maman ou je finis de me préparer et Margaux achève son réveil puis prend son petit déjeuner sportif comme papa, et oui elle a compétition d’athlé à Auch l’après-midi.
Je me dirige vers l’aire de départ, je croise quelques têtes connues dont deux anciens de la RSM, nous discutons et ça me fait plaisir de les revoir. Puis direction l’arche je vois Mika avec qui je m’entraine, Jean-Fi et Christine des connaissances du Magnoac que je croise sur quelques courses, il est 9h00 nous nous souhaitons bon courage c’est le départ.
Après les premiers 600 mètres nous attaquons directement dans le vif du sujet par une côte qui se transforme en mono trace sur un petit kilomètre, je ne cherche même pas à éviter les flaques d’eau et de boues, à oui je ne vous avais pas dit on continu avec la boue. Un passage dans les bois puis le long d’un champ je double deux trois concurrents, nous arrivons au premier ravitaillement. Je ne m’arrête pas, aujourd’hui j’ai pris le sac à dos avec la poche à eau pour m’habituer et pour pouvoir m’hydrater tout le long de la course. Déjà quelques kilomètres de passés je suis en bonne forme et je rattrape ou suis quelques concurrents plus athlétiques. Mais ne nous emballons pas il faut boucler 21 kms avec 500m de dénivelé positif et des passages techniques. Nous passons par le « vert en l’air » avec un second ravitaillement vers le 6éme kilo, les bénévoles et les spectateurs sont toujours de bonne humeur aves des mots d’encouragements.
Au détour d’un virage un personnage est là au bord d’un chemin, il suit des concurrents qui participent aux courses de la région, je l’ai déjà
vu sur d’autres épreuves. Cette personne à toujours des petites phrases au
passage des coureurs qui sont en compétition avec ses poulains. Cette fois en
arrivant vers lui j’entends un : « y’en a qui feraient mieux de faire
de la boxe que de faire de la course à pied… » et donc là je l'ai pris pour moi!!! peut-être que certains me reconnaitrons, je lui dis tout en continuant ma
course : « il y en a qui ferait mieux de fermer leur gueule aussi !!! »
et ça m’a fait un bien vous ne pouvez pas savoir.
La suite de la course se passe super bien avec des passages plus ou moins dur mais je me régale, quelques glissades et des descentes ou je profite un maximum. Puis une partie assez monotone, nous discutons entre coureurs l'ambiance est détendue mais je reste concentré, nous faisons une bonne partie de fin de course avec Alex.
J’en termine en 2h11’ avec les encouragements de ma fille, je vois André qui
fait partie de l’orga, il note les dossards à l’arrivée et à toujours un mot
pour vous congratuler.
Une mention spéciale à l’organisation et aux bénévoles pour la qualité de l’accueil, du parcours, de l’ambiance et du buffet d’après course.
Maintenant direction Auch pour la rencontre d’athlétisme avec les Eveils Athlétiques dont Margaux fait partie, les Poussins et ou j’assure l’encadrement. Une très bonne après-midi avec de bons résultats pour mes petits, la journée se finit par la remise des récompenses et le goûter, pour ma part j'ai une seule envie : rentrer chez moi m’écrouler dans mon canapé…
Adishatz.
c'est parti pour une bonne journée de sport. Madame part au travail, je me lève pour un petit déjeuné léger mais suffisant pour une matinée de trail et Margaux (ma fille pour ceux qui ne sont pas au courant) fera une grasse matinée jusqu’à 7hoo. Le temps que la petite émerge tout en s’habillant et nous partons à Pavie ou ma mère la gardera le temps de la course avant de partir faire la fête (ma mère !!!) à Lannemezan, d'ailleur j’ai eu une pensée pour eux qui ont fait la chouille toute la nuit…
Je passe récupérer mon dossard à la salle polyvalente et croise quelques organisateurs souriants et concentrés, pas encore beaucoup de monde mais l’accueil des bénévoles présents est convivial. Avec l’inscription nous recevons un polo super sympa aux couleurs du Pavie Trail.
J’arrive chez maman ou je finis de me préparer et Margaux achève son réveil puis prend son petit déjeuner sportif comme papa, et oui elle a compétition d’athlé à Auch l’après-midi.
Je me dirige vers l’aire de départ, je croise quelques têtes connues dont deux anciens de la RSM, nous discutons et ça me fait plaisir de les revoir. Puis direction l’arche je vois Mika avec qui je m’entraine, Jean-Fi et Christine des connaissances du Magnoac que je croise sur quelques courses, il est 9h00 nous nous souhaitons bon courage c’est le départ.
Après les premiers 600 mètres nous attaquons directement dans le vif du sujet par une côte qui se transforme en mono trace sur un petit kilomètre, je ne cherche même pas à éviter les flaques d’eau et de boues, à oui je ne vous avais pas dit on continu avec la boue. Un passage dans les bois puis le long d’un champ je double deux trois concurrents, nous arrivons au premier ravitaillement. Je ne m’arrête pas, aujourd’hui j’ai pris le sac à dos avec la poche à eau pour m’habituer et pour pouvoir m’hydrater tout le long de la course. Déjà quelques kilomètres de passés je suis en bonne forme et je rattrape ou suis quelques concurrents plus athlétiques. Mais ne nous emballons pas il faut boucler 21 kms avec 500m de dénivelé positif et des passages techniques. Nous passons par le « vert en l’air » avec un second ravitaillement vers le 6éme kilo, les bénévoles et les spectateurs sont toujours de bonne humeur aves des mots d’encouragements.
La suite de la course se passe super bien avec des passages plus ou moins dur mais je me régale, quelques glissades et des descentes ou je profite un maximum. Puis une partie assez monotone, nous discutons entre coureurs l'ambiance est détendue mais je reste concentré, nous faisons une bonne partie de fin de course avec Alex.
Alex en second plan |
Une mention spéciale à l’organisation et aux bénévoles pour la qualité de l’accueil, du parcours, de l’ambiance et du buffet d’après course.
Maintenant direction Auch pour la rencontre d’athlétisme avec les Eveils Athlétiques dont Margaux fait partie, les Poussins et ou j’assure l’encadrement. Une très bonne après-midi avec de bons résultats pour mes petits, la journée se finit par la remise des récompenses et le goûter, pour ma part j'ai une seule envie : rentrer chez moi m’écrouler dans mon canapé…
Adishatz.
mercredi 19 juin 2013
lundi 10 juin 2013
Photos Cagire
Quelques photos sur le site des Galopins du Cagire:
Descente du Pas de l'Ane vers le refuge de Larreix
Descente du Pas de l'Ane vers le refuge de Larreix
Arrivée
dimanche 9 juin 2013
Sortie du 9 juin
Pavie à 10h00 pour 1h15 et 13 bornes à peu près sur les chemins du Pavie Trail.
Avant le départ je fais l'appel:
Pluie - Présente
Boue - Présente
Glissade - Présente
C'est partie pour une bonne balade en solo, je n'ai pas vue beaucoup de monde durant mon footing à part deux jolis chiens qui m'ont fait accélérer sur quelques mètres.
Par contre les sentier sont toujours aussi boueux et l'eau coule sur des chemins tel des ruisselets. Au niveau du ruisseau le Sousson que l'on traverse à cette période sur des pierres en se mouillant à peine les orteils, là c'est autre chose plus de pierres. Ne voulant pas faire demi-tour et ne sachant pas si il y avait un passage plus loin j'ai donc traversé, j'ai été surpris par la profondeur puisque j'avais de l'eau jusqu’à mi-cuisse et le courant était assez fort sur ce petit ruisseau d'habitude si tranquille.
Bilan de la séance => Humide mais de bonnes sensations après le Cagire.
Rendez-vous pour le Pavie Trail qui se déroule dans 2 semaines!!!
samedi 8 juin 2013
mardi 4 juin 2013
Cagire où es tu ?
35km de boue, neige…et glissades...
J’arrive la veille de la course samedi après-midi à Aspet pour
retirer le dossard à l’office du tourisme, je récupère ma poche avec à
l’intérieur le dossard bien sûr numéro 128 et un teeshirt vert aux couleurs des Galopins
du Cagire une association sportive d’Aspet qui organise le trail. Je suis
accompagné de Mika un pote et aussi mon lièvre lors d’entraînements en commun fait
aussi le 35 kilomètres.
Petite balade dans le village ou nous avons
repéré un bar, et oui finale du championnat de France de rugby oblige. Henri un
collègue d’entraînement nous rejoint à une terrasse de café, en terrasse
vous ne rêvez pas il ne pleut pas !!! Moi je sirote un Perrier tranche et
Mika un jus de fruit, notre petit groupe étant au complet nous nous mettons à la
recherche d’un resto qui pourrait nous proposer des pâtes sur St Gaudens, puis retour à
Aspet pour regarder le match devant un Perrier menthe cette fois en pensant à la bière
d’après course…
L’heure de dormir approche et nous arrivons
dans une chambre d’hôte très sympathique ou nous allons passer la nuit, assez
courte pour moi avec trois heures de sommeil max à cause d’une personne que
je ne nommerai pas ici qui ronflait comme je n’avais jamais entendu auparavant.le pic du Cagire derrière les nuages!!! |
Moi, Mika, Henri |
Départ à 8h00 depuis le stade d’Aspet pour
400 concurrents sur 35 et 16 kilomètres sous une pluie qui ne nous quittera pas
de la matinée. On commence dans les sous-bois et dès les premiers hectomètres
la boue est présente et se fera de plus en plus intime avec tous les participants.
Un début de parcours avec quelques petites côtes sur des chemins légèrement
glissants et une première longue descente
négociée sans encombres ou j’ai même pris du plaisir nous mène à Juzet-d’Izaut.
Puis nous rentrons dans la forêt de Cagire et ça monte, nous empruntons un
chemin forestier qui monte puis nous attaquons le Pic du Cagire par la crête qu’il
faut gravir sur 5 kilomètres. C'est difficile, la pluie est moins présente mais laisse place au
froid et à un brouillard de plus en plus dense au fur et mesure de notre progression. Ça y est après quelques pauses techniques je suis en haut mais pour la vue je reviendrai et en plus le moral
est un petit peu entamé. Au loin j’entends des cloches se sont des bénévoles qui sont
là pour nous indiquer le sentier, on ne
distingue pas les balises qui sont plantées tous les 20 mètres. Direction le
col du Pas de l’Ane ou il faut faire trés attention aux appuis, à la pente et aux rochers glissants. Maintenant j'entame la redescente et la neige est là, une partie très pentu avec une corde pour
sécuriser l’ensemble ne m’empêchera pas de faire un morceau de ce passage sur
les fesses. Puis un peu plus loin une bénévole nous prévient qu’il n’y a plus de corde mais que
c’est encore glissant, juste le temps de lui dire merci et vlan sur le cul. Je me
remets en action entre course et surf sur un champ de neige jusqu’au refuge de
Lareix ou il y a un ravitaillement. Je retrouve un compagnon de chambré (le ronfleur) et nous
repartons ensemble, au bout de 20 mètres mes deux pieds partent en avant, résultat je
fais une mauvaise chute sur le dos et je vois des étoiles. Quelques secondes
pour reprendre mes esprits et me voilà reparti en ne sachant pas si j’allais
pouvoir terminer ou pas, mais je me fixe comme objectif le prochain
ravitaillement pour prendre une décision. Tout en trottinant quand c’est
possible je me dis tu dois aller jusqu’à bout et boucler ce trail, donc en avant mais le combat sera difficile avec la boue, les sentiers en dévers, le dénivelé et
jusqu’au bout quelques chutes sans gravitées… Nous revenons vers le village de
Juzet-d’Izaut, ou nous prenons un chemin interminable pour moi à ce moment de
la course, une dernière grimpette, une dernière votrasse boueuse dans une
descente et plus que trois kilomètres relativement « plat ». J'entends le speaker sans le voir mais le chemin que nous suivons m'éloigne du but, puis finalement un dernier virage à 180 degrés, nous sortons d'un bois et le long de la
ligne d’arrivée le public présent
applaudi au passage des concurrents ça réchauffe le cœur.
Un grand merci à tous les participants avec qui j'ai fait un bout de chemin, à l’organisation, aux
bénévoles et aux personnes présentent tout le long du parcours pour leurs encouragements.
Maintenant place à une semaine de repos…Adishatz.
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